En travaillant avec cinq thèmes différents, nous voulons concrétiser dont nous dépendons pour vivre. En plus, c’est pour démontrer de pouvoir vivre ainsi en plénitude et de partager cela avec les prochains.
Ceci se produit en:
-créant et/ou en préservant un juste équilibre naturel dans le territoire où on vit ainsi qu’il y reste assez d’espace pour la faune et le flore qu’il y a déjà.
-faisant usage de la pensée logique, de la simple raison et de ce qui le passé nous a enseigné. Aussi, c’est d’apprendre d’autres cultures, dans le sens le plus ample.
-évitant la surexploitation de la terre et d’apprendre à vivre de ce qui offre en abondance notre Mère Terre.
-respectant des processus naturels et de les promouvoir avec des pensées creatives et du travail fysique.
1. Vivre de la forêt
Du total de 60 hectares, environ 45 hectares de la domaine sont forêt. 15 hectares sont des pins, 20 hectares de la forêt de feuilles caduques, 10 hectares à planter ou de la jeune forêt qui peut être aménagée encore. Une forêt variée est une forêt saine! On pourra avoir ici l’expérience différente d’une forêt aménagée et d’une forêt naturelle. Il y a de l’aménagement de forêt de plantation jusqu’à produit final. Et le développement naturel de jeune forêt jusqu’à forêt complètement mature avec tout dedans de quoi nourrir.
2. Vivre de l’agriculture
Devant la maison il y a un beau potager orienté au sud et qui a le potentiel de donner beaucoup de légumes et de fruits. À part de cela, le potager servira comme ‘terrain d’apprentisage’ dans l’autonomie alimentaire. Des questions qu’on se pose, sont par exemple: Quels genres de légumes sont faciles à cultiver et qu’on pourrait cultiver facilement dans une zone urbaine, à la terrasse ou dans un bac à plantes? Comment prolonger la saison de récolte le plus possible? Ensuite nous investiguerons des techniques de ensemencement et de cultive. Autres points d’attention seront le tas de compost, de ce qu’on mange frais et ce qui peut être conservé et le processus à faire cela. Nous partons des principes de la permaculture qui font perdurer l’écosystème existant et duquel on fera usage de manière optimale et durable.
Derrière la maison il y a environ 4 hectares de prés qu’on transformera en champ. On va y semer des cultives à une échelle plus grande. Des questions qu’on se pose ici sont: comment répartir le mieux possible les opportunités? Quelle est la meilleure combinaison de plantes? Et on créera une rotation de plus grandes cultives comme le céréale, le mais, des tournesolles etc.
3. Vivre avec/d’animaux
Depuis l’antiquité, l’homme a fait usage d’animaux comme intérimaires, pour/comme provision d’aliments et pour l’accompagner. La manière dans laquelle l’homme se situe dans la relation à l’animal, est très diverse. Dans notre culture cette relation est souvent perturbée car ce sont des grandes industries qui déterminent la provision alimentaire. Des industries au lieu d’individus ou de petites communautés. À la Resse nous avons tout l’espace pour entretenir un cheptel varié en tout respect. On sauvegarde le bien-être des animaux, mais on les utilisera également et ainsi l’animal aura une place centrale dans le projet.
4. La construction durable
Les dernières décennies il y a eu un développement énorme en ce qui concerne de nouveaux produits et méthodes de construction efficaces. Toutefois, on choisit souvent l’alternatif le plus bon marché qui vient d’autres parties du monde sans penser aux sources d’énergie locales.
On peut avoir beaucoup d’avantages en nous concentrant aux matières premières locales et de créer de l’évacuation d’eau et de la provision d’énergie sur lieu. C’est donc de s’orienter plutôt localement.
5. La magie de la vie
Dans tout ceci, l’épanouissement personel, la compassion, la liberté intérieure, l’expérience de la réalité, la joie et la satisfaction dans la vie sont centrales. Nous voulons offrir un podium où on peut partager des visions et où le mentioné ci-dessus est spécifié à partir de disciplines créatives, philosophiques, scientifiques, metaphysiques et spirituelles.